COP16 : Un autre regard pour la RDC
C’est depuis le traité international adopté lors du sommet de la Terre à Rio de Janeiro en 1992 que les différentes conférences des parties rassemblent les signataires de la convention sur la diversité biologique.
La RDC est représenté depuis le 21 octobre en Colombie par les diverses institutions du pays œuvrant dans le secteur environnemental.

Etant un évènement de haute envergure, notre rédaction suivant de près les actions congolaises, a recueilli un point de vue d’un chercheur en communication environnementale ici à Kinshasa, qui nous étale une observation inédite de ce programme annuel.
Pour Jean-Luc MWAMBA, chercheur à l’Université des Sciences de l’Information et de la Communication, il s’agit d’un contexte typiquement stratégique qui met en valeur le métier des relations publiques ‘’La COP porte à chacune de ses éditions une valeur symbolique, actuellement il s’agit de la 16ème expression évènementielle, il est par conséquent magistral pour la pluralité des acteurs, spécifiquement les ambassadeurs de la marque ‘’RDC’’ de porter un regard attentif sur les outputs en relations publiques (rendement des actions) pour un contexte d’impact, on y trouve : le volume de retombées, les nombres des rencontres parallèles orchestrées … Des discours officiels et officieux à la veille médiatique en passant par le partage des cartes des visites ; ces éléments de la culture professionnelle sont d’une importance capitale pour mesurer l’impact du réseautage et amoindrir la considération d’inefficacité’’.
‘’C’est aussi un important enjeu d’image : une capitalisation au regard de la cible de la relation conjuguée avec la rencontre et appuyée par un récit vers la réputation qui amplifie l’appréhension de la fameuse sentence de Denis Kessler qui déclare que : la valeur crée de la valeur ‘’ . Renchérit-il.
La COP16 qui prendra fin le 1 novembre, est un réel miroir pour la revalorisation de la force de la RDC dans les enjeux majeurs de l’équilibre climatique.
Rija Landu