Nous devons admettre que l’UDPS et ses alliés ont échoué. En circulant de Kabambare, au croisement Flambeau, jusqu’à l’Assanef, on comprend pourquoi certains envisagent de soutenir le candidat de l’AFC à la présidence en 2028, comme le souligne Maître Estimé Boselu : « L’alternance est démocratiquement sacrée et constitutionnelle. »
Sous une pluie battante, les nids-de-poule se transforment en véritables cratères remplis d’eau, rendant la circulation difficile, voire dangereuse. Les véhicules peinent à avancer, certains se retrouvent immobilisés dans des flaques d’eau profondes. La chaussée fissurée, marquée par l’usure, ne peut plus supporter le passage des voitures sans aggraver davantage son état.
Les piétons, eux aussi, sont confrontés à de nombreux défis. Obligés de sauter de trottoir en trottoir pour éviter l’eau stagnante, ils risquent à chaque instant de glisser ou de se retrouver avec les pieds trempés. Quant aux marchands ambulants, ils doivent protéger tant bien que mal leurs produits sous des bâches précaires, sous la menace constante de la pluie.
Face à cette réalité, Maître Estimé Boselu affirme que l’échec du gouvernement actuel est visible dans l’incapacité à améliorer les infrastructures essentielles à la population. Il est convaincu que la RDC mérite mieux : « Celui qui refuse d’apprendre périra ! » Il ajoute que « la RDC mérite un leadership positif », soulignant ainsi la nécessité d’un changement pour le développement du pays.
L’alternance politique apparaît comme une solution indispensable pour sortir la République Démocratique du Congo de ce marasme, en offrant aux citoyens un avenir meilleur.
La rédaction
