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POLITIQUE : L’AFC, c’est lui : Tshisekedi accuse Kabila de soutenir la rébellion de Nangaa

Félix Tshisekedi, le président congolais, a enfin décidé de sortir l’artillerie lourde lors d’une interview accordée à deux médias depuis Bruxelles. Et quelle révélation ! Son prédécesseur, Joseph Kabila, serait derrière l’alliance mystérieuse entre Corneille Nangaa et le M23. Oui, vous avez bien entendu, Kabila serait le grand marionnettiste des ombres congolaises.

En effet, ces révélations ont été comme un coup de tonnerre dans un ciel déjà bien nuageux. Si l’on en croit Tshisekedi, Kabila aurait non seulement un pied dans le passé, mais aussi deux oreilles dans le présent, écoutant les murmures des rébellions comme un enfant écoute les contes au coin du feu. Mais attendez, on s’interroge : Kabila a-t-il vraiment le temps de jouer les ombres derrière les rideaux quand on sait qu’il doit aussi gérer son propre héritage, comme un vase fragile dans une pièce pleine d’enfants turbulents ?

Tshisekedi, dans un élan de bravoure, a décidé de mettre le doigt sur une plaie qui semble avoir été soigneusement bandée pendant des mois. Son entourage en parlait depuis un certain temps, mais lui, fidèle à son style, a préféré garder le suspense jusqu’à l’ultime révélation.

Et que dire de cette fameuse Alliance Fleuve Congo ? Avec un nom pareil, on s’attendrait à voir des crocodiles en cravate et des hippopotames en costume. Mais non, il s’agit en fait d’une coalition qui semble aussi réelle qu’un mirage dans le désert politique congolais. Si Kabila et Nangaa s’associent, peut-être qu’ils prévoient de lancer une nouvelle marque de bière ou de créer un spectacle de marionnettes. Qui sait ?

Dans ce contexte déjà tendu, cette déclaration de Tshisekedi pourrait être vue comme une manœuvre pour détourner l’attention des problèmes internes, un peu comme un clown qui jongle avec des torches enflammées pour masquer un numéro de magie raté. S’attaquer à Kabila, c’est un peu comme tirer sur l’ambulance, mais quand on est président, il paraît que cela fait partie du job.

Mais attention, chers lecteurs ! Si on commence à accuser tout le monde d’être derrière tout le monde, on risque de se retrouver dans une partie d’échecs où les pions sont des rébellions et les rois, des anciens présidents. Et là, ça devient compliqué… même pour un expert en stratégie.

En fin de compte, que retiendra-t-on de cette interview ? Que Tshisekedi a décidé de mettre son prédécesseur sur le banc des accusés, tout en espérant que les projecteurs se braquent sur Kabila plutôt que sur les défis quotidiens auxquels il doit faire face. Mais une chose est sûre : dans la jungle politique congolaise, il y a autant de rebondissements qu’il y a de rivières, et il est probable que cette histoire ne soit qu’un épisode de plus dans une série qui semble interminable.

Rendez-vous au prochain épisode, où, qui sait, peut-être que Tshisekedi accusera Kabila d’être l’inventeur du M23, ou même du chocolat belge ! Après tout, dans la politique, tout est possible… ou presque.

La rédaction/lecorbeau

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