SNEL, un nouveau virus qui tue les kinois
La société nationale d’électricité (SNEL), s’est illustrée il y a plusieurs années en société oeuvrant comme une arme silencieuse. Avec une électricité tantôt inférieure à 110V ou tantôt supérieure à 240V causant des énormes dégâts, principalement dans la ville de la rive gauche du fleuve Congo.
Malgré les multiples dégâts causés par cette électricité du 19 ème siècle, le corbeau en survolant le ciel kinois est tombé un incendie qui s’est produit ce dimanche 28 mars 2021 dans la commune de Kinshasa au croisement des avenues Usoki et Kasavubu.
Un feu monstrueux a embrasé la maison en étage jusqu’à faire écrouler un des ses murs sur le long de la route Kasavubu.
Selon du corbeau sur place, la société nationale d’électricité est indexée par les habitants de cette contrée, comme maître d’art de cette exploision qui a occasionné d’énormes pertes matérielles. Des raccordements irresponsables et anarchiques des câbles électriques sont constatés sur le lieu du drame.
Dans son retard légendaire, le service anti-incendie est arrivé au moment où il ne pouvait rien sauver. Fort est de constater que malgré leur présence, la police anti-incendie est aussi arrivée avec une quantité insignifiante d’eau comme s’il s’agissait d’une bougie d’anniversaire.
Le corbeau qui a assisté à la scène, a vu la population regretter quant à ce. Ce qui est vrai, aucune des revendications formulées par les habitants, n’auront jamais de suite comme certaines enquêtes de la justice qui n’ont jamais révélé la réalité.
La SNEL tue silencieusement et rend des milliers des personnes pauvres, même si celle-ci est la carte d’identité des plusieurs citoyens.
ARM/lecorbeau.net